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Appel à participation à la Conférence de l’IAUPL 2021 Marrakech, Maroc – 22-24 mars 2022
« Mobilité Académique et Formations Universitaires au service du développement de l’Afrique »
Réception des propositions de participation ( en presencia à Marrakech ou en numérique ZOOM ) et des intentions d’une communication (résumé d’une page) à envoyer à: Pr. Mohamed MAHASSINE m.mahassine61 (at) gmail.com et Dr. Oleg CURBATOV oleg.curbatov ( at ) yahoo.fr

Appel à participation complet avec une fiche de participation à télécharger ici –
(ici) Site internet de la Conférence – Université de Marrakech
AVEC le SOUTIEN DE L’UNESCO (UNITED NATION EDUCATIONAL, SCIENTIFIC and CULTURAL ORGANIZATION)
Position de l’IAUPL vis-à-vis de la Recommandation sur l’Ethique de l’Intelligence Artificielle ‘IA’ (UNESCO)
(mise à jour du 16/11/2021) L’UNESCO adopte lors de la 41-ème Conférence Générale la Recommandation sur l’Ethique de l’Intelligence Artificielle

NEGOCIATIONS inter-gouvernementales (mise à jour du 22/06/2021) l’IAUPL a donné son observation lors de la Réunion du 22 juin 2021 concernant le Paragraphe 104 du Projet de la Recommendation: COMMUNIQUE IAUPL:

RAPPORT FINAL de l’UNESCO à télécharger ici : « FINAL REPORT BY THE RAPPORTEUR – Final report by the rapporteur of the Intergovernmental Meeting related to a Draft Recommendation on the Ethics of Artificial Intelligence (26 –30 April 2021 and 21-25 June 2021)

citation du Paragraphe 104. de la Recommendation UNESCO: « Les États membres devraient encourager les initiatives de recherche portant sur l’utilisation responsable et éthique des technologies de l’IA dans l’enseignement, la formation des enseignants et l’apprentissage à distance, entre autres sujets afin d’élargir les possibilités et d’atténuer les problèmes et les risques qui existent dans ce domaine. Ces initiatives devraient s’accompagner d’une évaluation adéquate de la qualité de l’éducation et de l’impact sur les élèves et les enseignants de l’utilisation des technologies de l’IA. Les États membres devraient également faire en sorte que les technologies de l’IA autonomisent les élèves et les enseignants et améliorent leur expérience, tout en gardant à l’esprit que les dimensions relationnelles et sociales et la valeur des formes traditionnelles d’enseignement sont essentielles dans les relations enseignant/élève et élève/élève, et qu’elles devraient être prises en compte lorsque l’on examine l’adoption de technologies de l’IA dans l’éducation. Les systèmes d’IA utilisés dans l’enseignement devraient être soumis à des exigences strictes en matière de suivi, d’évaluation des capacités ou de prédiction des comportements des apprenants. L’IA devrait soutenir le processus d’apprentissage sans réduire les capacités cognitives, ni recueillir de données sensibles, dans le respect de la réglementation pertinente en matière de données personnelles. Les données communiquées pour acquérir des connaissances qui sont collectées pendant les interactions entre l’apprenant et le système d’IA ne doivent pas être utilisées abusivement, détournées ou exploitées à des fins criminelles, y compris dans un but commercial, ne doivent pas être utilisées abusivement, détournées ou exploitées à des fins criminelles. »
mise à jour du 16/06/2021:
Les Etats-Membres et les Experts-participants ont acceptés, après les débats d’une demi-heure, les dispositifs concernant les amendements proposés par la Tunisie, l’Allemagne et l’Autriche, dans les Paragraphes 112 et 113 de la Recommendation, qui concernent la Liberté d’Expression et les Libertés Académiques et Scientifiques:
Citation du Paragraphe 112 de la Recommendation de l’UNESCO. « Les États membres devraient utiliser les systèmes d’IA pour améliorer l’accès à l’information et au savoir. Ils peuvent notamment mettre en place des initiatives visant à aider les chercheurs, le milieu universitaire [Allemagne] et les développeurs, les journalistes, le grand public à améliorer la liberté d’expression, [Tunisie, Autriche] les libertés académiques et scientifiques et l’accès à l’information, et à accroître la divulgation proactive des données et informations officielles. »
« 113. Les États membres devraient garantir la liberté d’expression et l’accès à l’information dans le contexte de la création, de la modération et de la conservation automatisées des contenus. Des cadres appropriés, y compris réglementaires, devraient assurer la transparence des opérateurs de communication et d’information en ligne, permettre aux utilisateurs de faire leurs propres choix concernant les flux de contenus personnalisés, et prévoir des systèmes de notification immédiate aux utilisateurs des raisons de la suppression ou d’autres traitements des contenus, ainsi que des mécanismes de recours donnant aux utilisateurs la possibilité de demander réparation ».
Transmission de la réunion du 16/06/2021 ici (Youtube) et des débats sur ces articles aux séquences 2’26″ »

OBSERVATION de l’IAUPL : Notre intervention en qualité d’observateur ONG aux débats généraux du Comité intergouvernementale concernant la ‘Recommandation sur l’Ethique de l’Intelligence Artificielle’ en faveur de la défense des Libertés académiques.
Vous trouverez sur le site web dédié toutes les informations nécessaires à la réunion, y compris le lien Webcast et les documents de travail et d’information.
RAPPORT FINAL DE L’UNESCO de déroulement des réunions de négociation avec la contribution de l’IUPL inscrite ci-téléchargé: Final report by the rapporteur of the Intergovernmental Meeting related to a Draft Recommendation on the Ethics of Artificial Intelligence (26 –30 April 2021 and 21-25 June 2021)
COMMUNIQUE N°1 IAUPL
mise à jour du 11/06/2021

Protection des Libertés Académiques et des Droits de l’Homme au 211-ème Conseil Exécutif de l’UNESCO

remerciements à Mme SE. Véronique Roger-Lacan, Déléguée de la France à l’UNESCO
IAUPL intervient à la 210-ème session du Conseil Exécutif de l’UNESCO (Comité PNG, partenariat non-gouvernemental, point 34 ODJ), le 4 décembre 2020

re-écouter la session PNG sur le site de l’UNESCO (cliquez ici pour écouter notre intervention orale)
Madame la Présidente du Comité PNG du Comité Exécutif de l’UNESCO, Chères et chers Déléguées des Etats Membres du Comité, cher.e.s Collègues des ONG
‘Dans les actes constitutifs de l’UNESCO il a été noté que la paix qui repose uniquement sur les décisions politiques ne sera pas durable’, – ce propos a été souligné hier par la Représentante du Pakistan lors des Débats généraux au 210ème session du Conseil Exécutif. de l’UNESCO. Dans la même ligne de pensée et, en réaffirmant le caractère inter-gouvernemental de l’Organisation, la durabilité devrait intégrer les partenariats avec les organisations non-gouvernementales en vue de sauvegarder des droits fondamentaux de la société civile, dont la liberté d’expression et la liberté académique des enseignants-chercheurs universitaires.
Certes, nous notons notre satisfaction quant aux questionnaires lancés pour la participation des ONG aux consultations concernant la future stratégie C/4- C/5 de l’UNESCO et la Recommandation sur l’éthique de l’intelligence artificielle. IAUPL a proposé d’inscrire la liberté académique dans ces documents normatifs.
Certes, nous affirmons que le droit à la liberté d’expression, pour lequel l’UNESCO a son mandat, est inscrit dans la proposition de la Directrice Générale concernant le projet de stratégie à moyen terme pour le 41/C4, notamment dans l’Objectif Stratégique 3 – Effet 6 : la liberté d’expression et le droit à l’information (Document 210/EX 22).
Admettons qu’au-delà de l’événement dramatique que fut en France la disparition brutale de l’enseignant Samuel Paty, la liberté académique et le statut d’universitaire sont menacés par une suppression de la procédure indépendante de qualification d’enseignants-chercheurs CNU, qui est une seule garante collégiale pour assurer la qualité de l’enseignement supérieur.
Certes, il a été souligné dans la Proposition de la Directrice Générale, que les activités concernant la liberté d’expression de la presse soient menées de manière intersectorielle « afin de favoriser les libertés académiques, scientifique et artistique ».
Néanmoins, l’IAUPL s’interroge si, sans dialogue avec les ONG, les futures thématiques transversales au sujet de la liberté académique ne risqueraient pas de s’éloigner des problématiques spécifiques à l’enseignement supérieur ? Comment trouver un « intérêt commun » de thématiques et s’assurer que personne ne soit laissé pour compte ? Cette question a été soulevée par la Présidente du Comité PNG il y a quelques minutes lors de l’ouverture de cette session PNG.
Mesdames et Messieurs,
A ce témoignage de l’actualité de la communauté académique, et en se rapprochant de l’Ordre du jour du Comité, l’IAUPL souhaiterait savoir :
‘Comment seront organisés les travaux intersectoriels des États membres en partenariat non-gouvernemental permettant de garantir l’implication dans un dialogue de qualité et la réponse à la diversité des questionnements formulés par les ONG ?’
IAUPL participe à l’initiative de l’UNESCO « Les Futurs de l’éducation » en Afrique et en Amérique Latine

A ce titre nous avons réuni une panoplie d’experts de renommée internationale pour partager leurs expériences et émettre leurs points de vues éclairés, dans l’objectif de dresser une liste de recommandations visant à contribuer au futur de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique en Afrique.
Rejoignez-nous ( comité de Liaison Afrique de l’IAUPL)


L’IAUPL et l’ESPM (Brésil) mènent une enquête dans le cadre de groupes de discussion dont les résultats seront synthétisés pour la Commission Internationale de l’UNESCO sur Les Futurs de l’Education et aideront à façonner le débat mondial. Si vous souhaitez obtenir plus d’informations, veuillez nous contacter: Pr. Cristina Helena P. De Mello, Représentante de l’IAUPL au Brésil.
Les universitaires et le personnel des établissements de l’enseignement supérieur du Brésil participent à la consultation ESPM-IAUPL et à l’initiative de l’UNESCO « Les Futurs de l’Education », webinaire le 10 novembre 2020.


IAUPL e a ESPM (Brazil) realizam uma pesquisa por meio de discussões de grupos de foco cujos resultados serão sintetizados para a Comissão Internacional da UNESCO sobre o « Futuro da Educação » e ajudarão a moldar o debate global.
Caso tenha interesse em participar ou em obter mais informações, entre em contato conosco:
Prof. Cristina Helena De Mello chmello(at)espm.br
IAUPL a participé à la Conférence Internationale des ONG (CIONG) de l’UNESCO. IAUPL a souligné l’importance de la liberté académique face aux crises sanitaires Covid-19
IAUPL a défendu la liberté académique – et a proposé de l’intégrer explicitement dans la Recommandation 8
( ci-après Extrait du texte de la RESOLUTION CIONG 2020, UNESCO) – Recommandation 8 : « Veiller au respect des droits humains et promouvoir la citoyenneté mondiale, notamment grâce à des programmes culturels adaptés. Garantir la liberté de la presse, tout en luttant contre la désinformation, et la liberté académique, scientifique et artistique, tout en protégeant les conditions d’exercice des métiers concernés, particulièrement en temps de crise. Soutenir les médias de communication audiovisuelle, y compris du service public. »

La Conférence Internationale des ONG partenaires officiels de l’UNESCO 2020 s’est tenue du 16 au 18 décembre 2020.
Compte tenu des conditions sanitaires mondiales actuelles, la Conférence est en ligne.
Informations sur le blog du Comité de Liaison des ONG de l’UNESCO
9-ème réunion mondiale de la Consultation collective des ONG de l’UNESCO – CCONG Education 2030

IAUPL et sa section tunisienne IJABA ont participés à la 9ème réunion mondiale de la Consultation Collective des ONG pour l’Education 2030 (CCONG-Education2030) s’est tenue à Hammamet, Tunisie, les 2 et 3 décembre 2019. L’IAUPL a défendu les principes de la liberté académique et des conditions du travail du personnel enseignants dans le cadre ODD8 « Travail décent ».
Télécharger ici la documentation de l’UNESCO « Éduquer pour un avenir inclusif et durable » et Déclaration de la CCONG 2019
Extrait de la Déclaration de la CCONG 2019 concernant la liberté pédagogique et les conditions du travail
« Ensure that teaching is a valued profession with decent working conditions. Teachers must be adequately trained, recognized, remunerated and (…) Teachers’ autonomy regarding curricula and developing critical thinking must be ensured. »
Convention mondiale sur la reconnaissance des qualifications relatives à l’enseignement supérieur (UNESCO, 2019)

Texte de la Convention à télécharger ici (Bibliothèque numérique de l’UNESCO, dans les six langues officielles: anglais, français, russe, espagnol, arabe et chinois)
En novembre 2019, la Convention mondiale sur la reconnaissance des qualifications relatives à l’enseignement supérieur a été adoptée par la Conférence générale de l’UNESCO à sa 40e session, ce qui en fait le premier traité des Nations Unies sur l’enseignement supérieur de portée mondiale.
La Convention mondiale ( titre officiel et texte: Convention mondiale sur la reconnaissance des qualifications relatives à l’enseignement supérieur) été conçue pour faciliter la mobilité universitaire internationale et promouvoir le droit des individus à ce que les qualifications relatives à l’enseignement supérieur soient évaluées par des mécanismes équitables, transparents et non discriminatoires.
Elle vise à élargir l’accès à l’enseignement supérieur partout dans le monde en facilitant les échanges internationaux d’étudiants, d’enseignants, de chercheurs et de demandeurs d’emploi. La Convention mondiale entend également renforcer la coopération internationale dans l’enseignement supérieur et contribuer à améliorer sa qualité dans le monde entier.
IAUPL participe au Forum Politique de Haut Niveau de l’ONU (ECOSOC) les 9-18 juillet 2019, New-York siège de l’ONU

Déclaration – Statement HLFF 2019 – IAUPL (téléchargement ici dans la bibliothèque numérique de l’ONU (Français, English, Espagnol)

Communiqué écrit de l’IAUPL pour HLPF 2019
Cette déclaration de l’Association Internationale des Professeurs et Maîtres de Conférences des Universités (IAUPL) résume l’ODD 4 et plus particulièrement le volet Enseignement Supérieur, ainsi que les cibles du groupe des ODD connexes (Objectifs 4, 8, 10, 13, 16 et 17) examinés au HLPF 2019.
L’IAUPL réaffirme que l’enseignement supérieur reste toujours un égalisateur au sein de la société par le biais du processus de transmission et de création des connaissances permettant le développement et l’autonomisation de l’individu, le progrès des pays et la paix mondiale. Néanmoins, ce double processus est confronté aux problèmes de la qualité de l’enseignement et à ceux du statut libre de l’enseignant-chercheur universitaire, inégal selon les pays, ce que reproduisent les inégalités déjà existantes. Il est généralement connu que la qualité de l’enseignement supérieur est conditionnée par une activité de recherche fondée sur les libertés académiques (libertés de l’enseignement, de la recherche et de l’expression).
L’IAUPL défend et a défendu ce statut libre de l’enseignant-chercheur dans une série de conférences locales et internationales, dans les consultations collectives des ONG de l’UNESCO, à la Réunion Mondiale sur l’Éducation 2018 (Bruxelles) et en conformité avec les conclusions du Comité-Directeur de SDG-Éducation 2030 de l’UNESCO 2019 qui appellent à un soutien de la profession de l’enseignant, à des conditions de travail décentes, à son autonomie professionnelle, à la revalorisation de son statut afin de l’impliquer, ainsi que ses organisations représentatives et la société civile, dans le développement, le suivi et l’évaluation des politiques éducatives. Dans ce contexte particulier, appliqué à l’enseignement supérieur, l’autonomie professionnelle et le travail décent de l’enseignant-chercheur s’expriment dans le respect des libertés académiques.
Cette déclaration appelle à soutenir la liberté académique des universitaires qui permet d’améliorer de manière constante la qualité de l’enseignement supérieur et de réduire les inégalités économiques et sociales entre tous les pays (ODD 10). Elle appelle également au renforcement des liens entre les formations universitaires des futurs enseignants de tous les niveaux, l’apprentissage tout au long de la vie et le partage des pratiques professionnelles. L’IAUPL note qu’un enseignement supérieur de qualité, ainsi que la reconnaissance des titres et des qualifications universitaires (dans les pays en situations de conflit aussi), sont essentiels pour parvenir au travail décent (ODD 8) et à des sociétés pacifiques au niveau mondial (ODD16). Le partenariat international entre les universitaires/scientifiques et les États (ODD17) « Diplomatie Académique, Pax Academica IAUPL » implique les enseignants-chercheurs universitaires, par le biais des programmes de formation/recherche au dialogue entre les États au sujet des catastrophes naturelles (ODD13) et à la résolution de conflits militaires, environnementaux, économiques et inégalitaires entre les pays. Par conséquent, l’IAUPL prend l’engagement de soutenir de multiples programmes et initiatives pour la réalisation des ODD afin d’offrir les connaissances nécessaires à l’autonomie des individus, tout en prêtant attention au changement climatique et à la paix.
Message-clé de l’IAUPL: réaffirme et appelle les gouvernements à un soutien à l’objectif principal d’éducation, à tous les niveaux, qui consiste à donner aux jeunes, aux enseignants et enseignants-chercheurs les connaissances nécessaires au développement de leur parcours autonomisé et les conditions du travail décent.
(English)
This declaration summarizes views on SDG 4 and more particularly the higher education component, along with the goals of its set of transversal and related SDGs (Goals 4, 8, 10, 13, 16 et 17) examined at the HLPF 2019. IAUPL reaffirms that through a process of transmission and creation of knowledge, Higher Education remains a social equalizer. It enables the development and empowerment of individuals, progress in countries and world peace. Nevertheless, this dual process is facing problems relating to quality of education and the free status of university teachers and researchers – quite unequal across countries – which are reproduced by already existing inequalities. It is generally known that the quality of Higher Education depends on a research activity based on academic freedoms (freedoms in teaching, research and speech).
IAUPL has defended and still defends this free status of teachers-researchers in a series of local and international conferences, in UNESCO’s collective consultations with NGOs, at the conclusion of the Global Education Meeting 2018 (Brussels, Belgium) and in accordance with the 2019 conclusions of UNESCO’s SDG-Education 2030 Steering Committee (contributions to HLPF 2019) which call for supporting the teaching profession, decent working conditions, professional autonomy, improving the status so as to involve teachers, along with their representative organisations and civil society in the development, monitoring and evaluation of educational policies.
Within this framework and the context of higher education, the professional autonomy and decent work of Teachers-Researchers are consistent with academic freedoms. This declaration calls for supporting academic freedoms which help improve the quality of higher education steadily and reduce economic and social inequalities across countries (SDG 10). It also calls for strengthening the links between future teachers’ academic trainings at all levels, life-long learning and sharing professional practices. IAUPL notes that a high-quality higher education as well as the recognition of academic titles and qualifications (also in countries in conflict situations) are essential to achieve the decent work objective (SDG 8) and build peaceful societies worldwide (SDG16). The international partnership between academics/scientists and states (SDG 17) «Academic Diplomacy, Pax Academica IAUPL» involves academic Teachers-researchers through training/research programmes on dialogue between states concerning natural disasters of marine areas (SDG 13) and on the resolution of military, environmental, economic and unequal conflicts across countries. Thus, IAUPL undertakes to support multiple programmes and initiatives with a view to reaching the SDGs and providing the knowledge required for the autonomy of individuals, while giving attention to climate change and peace.
The key message IAUPL is to reaffirm and call on governments to support the key goal of education at all levels, which consists in providing young people, Teachers and Teachers-researchers the knowledge / academic Status required for the development of their empowerment and ensuring decent work.




IAUPL sensibilise les étudiants aux défis de l’Intelligence Artificielle, mars 2019 et aux Objectifs du développement durable (ODD) lors des Conférences de l’UNESCO et du FEIA à l’OCDE: juin 2019, novembre 2019 et décembre 2021, 2022.
- La 42-ème Conférence Générale de l’UNESCO, Paris, siège de l’UNESCO, les 07-22 novembre 2023
- Le Forum Economique International des Amériques FEIA, la 7-ème Conférence de Paris: « Combler les fractures », Centre de Conférences de l’OCDE – Paris, les 28-29 novembre 2023
Communiqués des événements précédents:
- Les étudiants du Master 2 MEM « Innovation et dynamique concurrentielle » – UFR SEG de l’Université Paris 13 (encadrés par Oleg Curbatov, Maître de conférences) sont présents au siège de l’UNESCO à la Conférence « Principles for Artificial Intelligence: Toward a Humanistic Approach », les 4 – 8 mars 2019

(site Internet UNESCO): citation « In order to encourage dialogue on the development of a human-centred artificial intelligence, UNESCO is organizing a high-level conference entitled “Principles for Artificial Intelligence: Towards a Humanistic Approach?” on 4 March 2019, at its Headquarters in Paris. The conference will facilitate dialogue between leaders in AI from around the world and promote ways to ensure human-centred design of AI principles and frameworks rooted in international cooperation.
As a global laboratory of ideas, standard setter, policy advisor and capacity builder, UNESCO will play a leading role in facilitating international cooperation and influencing future transformations of our societies due to AI. UNESCO’s mandate calls inherently for a human-centred approach to AI – to shift the conversation to include AI’s impact on internationally agreed universal values, norms, and standards; to incorporate its role in addressing unequal access to knowledge, research and the diversity of cultural expressions; and to ensure AI does not widen the technological divides within and between countries. The promise of “AI for all” must ensure that everyone can take advantage of the technological revolution under way and access the innovation and knowledge generated.
The global high-level conference “Principles for Artificial Intelligence: Towards a Humanistic Approach?” will take place on 4 March 2019 at the UNESCO Headquarters in Paris. Building on its record of multi-stakeholder consultation and consensus building, UNESCO will bring together stakeholders from the public and private sector, technical community, media and academia, civil society and international organizations. The conference will facilitate dialogue between stakeholder groups on the potential benefits and challenges of AI and its applications.
The high-level conference will also launch Mobile Learning Week, the United Nations’ flagship conference on new technologies in education, to be held at UNESCO Headquarters from 5-8 March around the theme of “Artificial Intelligence for Sustainable Development.”
2.Forum Economique International des Amériques – FEIA – Conférence de Paris – à l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques – OCDE


(mise à jour,novembre 2019 – Participation de l’IAUPL et des étudiants du Master 2 encadrés par Oleg Curbatov, Maître de Conférences – formation Master 2 ‘SCIENCE POLITIQUE: politiques commerciales avec les pays émergents’ – UFR DSPS et SEG de l’Université Sorbonne Paris Nord à la Conférence de Paris –
Forum Economique international des Amériques – FEIA – siège de l’OCDE, novembre 2019, avec l’allocution du Président de l’Assemblée Générale de l’Organisation des Nations Unies – ONU ( 74 -th session AG ) Monsieur S.E. Tijjani MUHAMMAD-BANDE
Rémi Benamer, Dimitri Gouyet et Salma Nourdine, Michelle Rueda- étudiant-es M2 « Science Politique: parcours Politiques Commerciales avec les Pays Emergents PCPE » Université Sorbonne Paris Nord – promotion 2021-2022, 2023 à la Conférence de Paris du Forum Economique International des Amériques – FEIA, siège de l’OCDE à Paris,
Témoignage de Mlle Michelle RUEDA (étudiante colombienne à l‘Université Sorbonne Paris Nord – M2 « Science politique: PCPE », Promotion 2022-2023): « Dans la conférence «Repenser le monde des affaires» du 16 décembre 2022, organisée par le Forum Economique International des Amériques à Paris, quatre PDG d’entreprises et de secteurs différents ont parlé de l’importance de réinventer ou de renouveler les entreprises aujourd’hui. Tout d’abord, ils ont parlé de la façon dont chacune de leurs entreprises se réinventent. Certains ont mentionné l’importance pour leurs employés de se sentir partie prenante de la culture de l’entreprise, en particulier ceux qui travaillent dans différentes parties du monde, et que pendant la période de confinement, ils ont pu aller plus loin et devenir une entreprise animée par la mission de fournir un travail transparent et ayant un impact. D’autres ont mentionné comment les nouvelles technologies leur ont permis de transférer certains de leurs services vers des plateformes numériques, améliorant ainsi à la fois leurs employés et les entreprises pour lesquelles ils travaillent en créant des leaders plus agiles et empathiques.
Ils ont ensuite évoqué certaines des méthodes utilisées par les entreprises pour se réinventer dans un environnement aussi difficile. Pour certains d’entre eux, nous sommes confrontés à une situation sans précédent, car aucun de nos modèles économiques ne prévoit quelque chose comme cette onde de choc à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui, et nous devons donc accepter qu’il y ait un peu d’incertitude. C’est pourquoi ils ont mentionné qu’en ce moment, il faut avoir le courage de se réinventer malgré l’incertitude de l’environnement, parce qu’il y a plus de risques à ne pas changer qu’à changer, et la réinvention nécessite une vision, la capacité d’investir que vous devez parfois créer parce que vous ne l’avez pas, donc vous devez optimiser la façon dont vous opérez grâce à la technologie et avoir la vision de l’orientation de la transformation … … Puis ils ont discuté de l’importance pour les entreprises de cultiver réellement l’employabilité, car elles retiendront leurs employés, qui sauront que leur avenir est garanti quoi qu’il arrive, parce que leur propre capital humain est cultivé et que cela signifie améliorer et éliminer les risques. Ensuite, l’intelligence artificielle et le talent ont été abordés, pour lesquels ils ont mentionné que la nouvelle façon de travailler à la maison leur a permis d’avoir une équipe virtuelle au niveau international ou national travaillant ensemble d’une manière différente, ce qui leur a permis d’avoir accès à de nouveaux talents qui n’étaient pas possibles auparavant. Pour eux, ce n’est que le début d’une nouvelle ère qui offre des possibilités fantastiques de travailler d’une manière totalement différente, de gérer nos carrières d’une manière totalement différente et d’organiser nos activités d’une manière totalement différente.
En dernier lieu, ils ont mentionné que le talent est la richesse ultime des entreprises et que lorsqu’il y a une crise mondiale majeure, c’est une terre d’opportunités car cela nous pousse à nous réinventer beaucoup plus vite ».
Témoignage de M. Dimitri GOUYET, étudiant M2 « Sciences Politiques: PCPE, » l‘Université Sorbonne Paris Nord: « Cette conférence de Paris du 1er décembre 2021, organisée par le Forum Economique International des Amériques m’a été très intéressante et enrichissante, d’un point de vue professionnel, comme personnel. Les thèmes et les questions abordés sont essentiel pour des étudiants qui visent à travailler dans la politique et le commerce international. Personnellement, j’ai le souhait depuis plusieurs années de travailler dans la diplomatie ou le commerce international ; et c’est pour cette raison que j’ai décidé d’entamer des études dans les sciences politiques et en particulier un master 2 de Politiques Commerciales avec les Pays Emergents. J’ai également pour projet de mêler ces intérêts avec la protection de l’environnement ; en particulier la question de l’eau. En effet, pour moi la gestion de l’eau est un problème majeur. Mon objectif professionnel est de se demander comment concilier le commerce international tout en respectant l’environnement. De plus, j’accorde une grande importance aux communautés minoritaires qui sont sujettes aux expropriations et aux violences de certains gouvernements, justement à faveur des grandes multinationales pour l’exploitation des ressources en eaux. Ce sujet m’intéresse tout particulièrement et j’aimerai avoir l’opportunité de travailler dessus à l’avenir ».
Témoignage de Mme Salma NOURDINE, étudiante M2 « Science Politique: PCPE » (Promotion 2021-2022), Université Sorbonne Paris Nord « La séance plénière qui a porté sur Le rôle de la technologie dans l’attente de la durabilité, animée par Karen Tso présentatrice CNBC, en présence des conférenciers Antonio Neri, président-directeur général, Hewlett Packard Enterprise Bernard Charlès, vice-président du conseil et Directeur Général, Dassault Systèmes Pierre Barnabé, co-directeur général, Atos Jean-Marc Ollagnier, Directeur Général Europe, Accenture. Ce séminaire porte sur le développement durable que les Etats membres des Nations Unies se sont fixés d’ici 2030. La rénovation de l’économie est un monde en transition, ainsi que le rôle de la technologie se montre dans la manière de comment on réinvente et comment on fait notre projet.…
…. Finalement le conférencier Antonio Neri a évoqué l’impact de la pandémie, cet impact est une meilleure mesure de ce nous consommons, l’intelligence artificielle peut faire accélérer la fabrication du vaccin et il faut absolument des mécanismes pour créer la transparence. A mon avis personnel la technologie apporte un changement primordial sur l’économie mondiale, elle transforme les compétences ainsi elle réorganise l’économie et plusieurs industries« .
Témoignage de M. Rémy BENAMER, étudiant M2 « Science Politique: PCPE » (Promotion 2021-2022), Université Sorbonne Paris Nord: « Nous avons eu la chance d’assister le 1er décembre 2021 à la conférence organisée par le Forum des Amériques au sein du siège de l’OCDE à Paris, avec pour thème principal « L’économie en transition ». Ce sujet couvrait de nombreux aspects, notamment les différentes perspectives de futur pour l’économie, que ce soit au niveau organisationnel, écologique ou encore législatif. De nombreux intervenants ont pu participer aux débats concernant des sujets variés, et parmi eux, on pouvait retrouver une multitude de Directeurs Généraux, ainsi que plusieurs présidents ou membres d’universités notamment. (….) La seconde présentation m’ayant particulièrement plu est l’intervention de Thierry Dassault, qui s’est exprimé en tant qu’investisseur. Je n’ai pas analysé sa présentation en tant qu’investisseur mais j’ai porté beaucoup d’attention quant à sa capacité de compréhension de l’environnement économique du moment. En effet, il a décidé d’investir dans des secteurs en apparence différents, mais qui en réalité sont en grande partie interconnectés, et ce il y a des années. En effet, ce dernier a investi dans trois secteurs principaux : une entreprise de lutte contre les moustiques, une entreprise d’enseignement et une entreprise de cybersécurité…Dans le cadre de ma carrière professionnelle centrée vers le commerce international, il est probable que je sois amené a devoir faire preuve de créativité et dans ce cadre, il est important de prendre en compte les aspects présentés par M. Dassault, notamment celui de la prévoyance : il dit avoir investi dans la cybersécurité non pas car il était en danger, mais car il a pensé à ce qu’il pourrait faire une fois que le danger arriverait. Il en va de même pour la lutte contre les moustiques et l’éducation qui sont pour lui des secteurs d’avenir : ils concernent tout le monde et l’un permettrait de créer de meilleures conditions pour le second. Il existe en France de nombreuses entreprises travaillant dans des secteurs très prometteurs et il est important de penser à des stratégies à long terme. Je souhaiterais personnellement travailler au sein d’une entreprise française avec un aspect international, en lien plus particulièrement avec l’Amérique latine. Le fait que M. Dassault présente un point de vue mondial sur les investissements me rassure quant à mon projet ».
Témoignage de M. Louinel ESTIMABLE, étudiant M2 « Science politique: PCPE » (Promotion 2022-23) – Université Sorbonne Paris Nord: » Les 15 et 16 décembre 2022, s’est tenue au siège de l’Organisation de coopération et de développement économique à Paris, la Conférence de Paris FEIA sur le thème « Redéfinir le dialogue » avec la participation de nombreux acteurs internationaux et français, des intervenants aussi divers que variés, des thématiques aussi diverses que variées également. Dans le cadre de cette conférence, j’ai eu l’honneur de participer activités qui avaient lieu le 16 décembre. Ce fut une journée extrêmement riche en termes de contenus. Néanmoins, j’ai fait le choix de faire le compte rendu de deux sessions qui me semblaient être les plus importantes de cette journée dont je livrerai la recension dans les lignes à venir. Le premier panel que je décide de recenser c’est celui sur le thème de « Mobility challenges in time of crises ». Débutant à 2 :30 et se terminant à 13 :30, le panel était composé d’Eric Martin-Neuville, vice-président de Geodis, Augustin de Romanet, PDG du Groupe Aéroports de Paris, Cécile Prévieu, vice-président en charge des solutions énergétiques d’Engie et de Hiba Farès, PDG de RATP Dev.
Il a été particulièrement intéressant: chaque panéliste, fort de leur expertise et leurs compétences, sont intervenu en ce qui les concerne dans le domaine des transports, secteur très divers et dont les problématiques sont différents selon qu’il s’agit de l’aérien, du ferroviaire et du routier. Il s’agissait pour les intervenants de présenter l’état actuel du secteur, d’en ressortir les différents défis auxquels il est confronté et de contempler les différentes solutions à apporter, mais surtout essayer de tracer les contours du transport du futur, répondant aux besoins des usagers de plus en plus exigeants.
La question de l’énergie a été centrale au cours de cette session. En effet, la question du transport est intimement liée à celle de l’énergie. Le secteur de la mobilité et des transports sont face à des difficultés gigantesques selon les intervenants en raison de la dépendance de l’Europe vis-à-vis de partenaires extérieurs pour son approvisionnement en gaz et en carburants. D’où, selon Cécile Prévieu, vice-présidente d’Engie, la nécessité de travailler sur les énergies renouvelables pour réduire cette dépendance vis-à-vis de l’extérieur. « Sur le coût de l’énergie, encore une fois, on est aujourd’hui à 300 € sur les marchés européens, le besoin de l’accélération sur les énergies renouvelables qui sont des énergies, on va dire moins dépendants des fluctuations géopolitiques et qui permettent aussi d’avoir la vie un peu moins dure », a-t-elle affirmé. Après avoir enchaîné sur le contexte international, des propositions ont été faites sur comment améliorer la question de la mobilité en France. L’une propositions qui a été mise sur la table est celle de faire en sorte tout le monde soit en mesure de prendre les transports en commun, bus et trains, compris gratuitement ou à peu de frais. Des exemples à l’étranger ont été signalés. C’est le cas d’Hiba Farès, représentant de la RATP, qui a expliqué : « Pour aller dans ton sens, mais aussi pour contrer l’inflation et la hausse du coût de la vie dans beaucoup de pays, je pense que vous avez vu ce que ça en Allemagne, c’était un abonnement pour tous les transports urbains à 9 € avec un abonnement à 49 € prendre les transports en Allemagne à Barcelone ». Il a également ajouté que la RATP travaille sur le biogaz, et que l’objectif de zéro émission est l’horizon de l’entreprise. Quant au transport aérien, Monsieur de Romanet, a présenté sa vision de ce segment de transport, mais aussi de son entreprise, Aéroports de Paris qui, dit-il, c’est «29 aéroports dans 32 pays». Il a affirmé que le secteur de l’aérien est partie prenante de la lutte contre le réchauffement climatique, les émissions à effet de serre, etc. D’où le fait que toutes les compagnies aériennes cherchent à réduire leurs impacts carbone, essayant de trouver des alternatives aux carburants traditionnels, certains pensant même à l’huile de palme ».
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